Je trie des images, je reprends ce travail fait à Niort, et je tombe sur ce portrait de Pauline, qui m’avait tant touchée par sa sensibilité et sa grâce. Cette jeune-fille qui semblait toujours avoir un pied dans le vide, flottait dans la vie comme une brise légère, on ne savait réellement jamais si elle était passée là ou pas…